L’oraison funèbre
L’oraison funèbre est un éloge funèbre ou un discours louant les mérites d’un défunt illustre. Ce discours tient à la fois de l’éloge et du sermon…
L’oraison funèbre est un éloge funèbre ou un discours louant les mérites d’un défunt illustre. Ce discours tient à la fois de l’éloge et du sermon…
Le métaplasme est la dénomination générale que l’on applique aux changements apportés dans un mot par l’addition, la suppression ou la transposition d’une lettre ou d’une syllabe. Parmi les métaplasmes, on distingue : la prosthèse, l’épenthèse, la paragoge, l’aphérèse, la syncope, l’apocope, la métathèse, la crase, la synérèse, l’élision et la diérèse.
Les figures de passion ou de mouvement ont pour but de à toucher et d’émouvoir. On compte parmi ces figures : la suspension, la permission, l’hyperbole, l’interrogation rhétorique, l’exclamation, l’optation, l’obsécration, l’imprécation, la commination, l’apostrophe, la personnification et le dialogisme.
Les figures d’imagination (ou d’ornement) ont pour but de captiver l’imagination. On compte parmi ces figures : l’antithèse, la correction, la licence, la dubitation, l’hypothèse, la réticence, l’ironie, l’astéisme, la gradation, la comparaison et l’hypotypose…
Les figures de raisonnement sont propres à instruire et à convaincre. On compte parmi ces figures : la prétérition, la concession, la communication, la prolepse, l’atténuation, l’exagération, la litote, la sentence et l’épiphonème…
Les tropes sont des figures de rhétorique qui changent le sens des mots, et les font passer de leur signification propre à une signification étrangère. Parmi les tropes les plus connus, citons : la métaphore, l’allégorie, la catachrèse, l’antonomase, la métonymie, la synecdoque, la métalepse, l’allusion, l’euphémisme et l’antiphrase.
Les figures oratoires consistent à embellir le style. Elles conviennent surtout aux discours. Les figures oratoires sont au nombre de quatre : la répétition, la conjonction, la disjonction et l’apposition…
Les figures grammaticales font partie des figures de mots. Ce sont les figures qui s’éloignent des règles générales du langage. Elles sont sont au nombre de cinq : l’inversion, l’ellipse, le pléonasme, la syllepse et l’hypallage.
Les figures de rhétorique sont une forme caractéristique d’expression, motivée par la recherche d’un effet d’expressivité. On les emploie pour donner au style plus de force, de grâce ou de vivacité…
La réfutation est la partie du discours qui se place ordinairement après la confirmation. Elle a pour objet de détruire, de ruiner ou du moins d’affaiblir les raisons, les propositions ou les arguments de l’adversaire…
Grammaire / Langue / Rhétorique
par Hady · Published 13 novembre 2020 · Last modified 20 janvier 2024
Une ellipse est une figure de construction qui consiste à omettre volontairement un ou plusieurs mots dans une phrase, afin d’abréger et de simplifier le raisonnement, sans nuire à la clarté…
En rhétorique, la proposition est la seconde partie de la disposition. La division succède à la proposition, et ne peut exister que dans le cas où la proposition est composée…
La péroraison est l’une des parties du discours reconnues comme essentielles par la rhétorique dans la Disposition. Elle est la conclusion même et l’achèvement du discours ou de l’œuvre de la parole…
La confirmation est le nom qu’on donne, dans la rhétorique, à la partie du discours où l’orateur prouve la vérité qu’il a annoncée dans la proposition, et dont il a fait comme le partage dans la division…
L’exorde est la première des cinq parties du discours reconnues comme essentielles par la rhétorique dans la Disposition. Il a pour objet de préparer l’auditoire, d’appeler son attention sur le sujet et de gagner sa bienveillance…
La rhétorique est l’art de l’éloquence et de la persuasion, définition qui correspond, dans son acception la plus large, à celle qu’en avait donnée l’Antiquité…
Langue / Littérature / Rhétorique
par Hady · Published 3 janvier 2016 · Last modified 20 janvier 2024
On présente souvent les mots maxime, sentence, axiome, apophtegme et aphorisme comme étant des synonymes. Cependant, quelle est la différence entre tous ces mots ?
L’éloquence est l’art de toucher et de persuader. Elle se répartit en trois genres : le démonstratif (ou épidictique), le délibératif et le judiciaire.
Le symbole est un objet concret choisi pour signifier l’une ou l’autre de ses qualités dominantes. Retrouvez une liste de symboles consacrés ou conventionnels.
On distingue les figures de l’analogie, les figures de la substitution, les figures de l’opposition, les figures de l’amplification, les figures de l’atténuation et les figures de la construction…
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