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#6369
L'impossible est le seul adversaire digne de l'homme. (Andrée Chedid, Néfertiti et le rêve d'Akhnaton)
#6370
La volonté d'aimer, de vivre est un arbre naturel... (Andrée Chedid, Le Sixième Jour)
#6371
On ne peut pas se priver du rêve. (Andrée Chedid, Entre Nil et Seine)
#6372
Puérils sont les mots Vaine l'écriture Effréné pourtant le désarroi du coeur. (Andrée Chedid, Cérémonial de la violence)
#6373
Ecrire, c'est très dur, avec de grandes fenêtres de joie. (Andrée Chedid)
#6374
La poésie - par des voies inégales et feutrées - nous mène vers la pointe du jour au pays de la première fois. (Andrée Chedid, Terre et poésie)
#6375
Il est vital pour le poète de lever des échos, et de le savoir. Nul mieux que lui ne s'accorde aux solitudes; mais aussi, nul n'a plus besoin que sa terre soit visitée. (Andrée Chedid, Terre et poésie)
#6376
Si la poésie n'a pas bouleversé notre vie, c'est qu'elle ne nous est rien. Apaisante ou traumatisante, elle doit marquer de son signe; autrement, nous n'en avons connu que l'imposture. (Andrée Chedid, Terre et poésie)
#6377
Quelque part existe le visage de notre terre. Qui nous dira son nom? (Andrée Chedid, Seul le visage)
#6378
Vivre en poésie, ce n'est pas renoncer; c'est se garder à la lisière de l'apparent et du réel, sachant qu'on ne pourra jamais réconcilier, ni circonscrire. (Andrée Chedid, Terre et poésie)
#6379
A te vivre, je déborde de silence et de sel. (Andrée Chedid, Visage premier)
#6380
Je revenais des autres chaque fois guéri de moi. (Andrée Chedid, Visage premier)
#6381
Le roman prend corps pour ensuite se vêtir. Prenant âme; la poésie demeure nue. (Andrée Chedid)
#6382
Lorsqu'il sentait son public avec lui, applaudissant et riant de ses loufoqueries, Omar-Jo changeait brusquement de répertoire. D'abord il faisait taire la musique; ses pitreries se fracassaient contre un mur invisible. Ensuite il laissait un silence opaque planer au-dessus des spectateurs. D'un seul geste il arrachait alors les rubans ou les feuillages qui dissimulaient son moignon. Puis, il présentait celui-ci au public, dans toute sa crudité... L'enfant multiple n'était plus là pour divertir. Il était là aussi pour évoquer d'autres images. Toutes ces douloureuses images qui peuplent le monde. Mené par sa voix, Omar-Jo évoqe sa ville récemment quittée... (Andrée Chedid, L'Enfant multiple)



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