L’épître

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L’épître 

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Qu’est-ce que l’épître ?

L’épître (nom féminin) est une lettre missive, en prose, écrite par un auteur ancien. Par extension, l’épître est un genre littéraire en vers traitant de sujets variés (littéraires, moraux, religieux, etc.) à la manière d’une lettre, avec parfois une pointe badine ou satirique, comme les Épîtres de Boileau. Dans ce cas, l’épître fait partie du genre didactique. L’épître est également une lettre missive, en prose, écrite par un apôtre ou un père apostolique et destinée à une communauté chrétienne ou parfois à un particulier.

Ce genre littéraire, distinct du roman épistolaire ou roman par lettres, se développe dans l’Antiquité avec Horace, le fondateur du genre. Il n’est point de genre de poésie plus libre, soit dans le choix des sujets, soit dans le choix des sujets, soit dans le choix du style, qui peut prendre tous les tons, s’élever jusqu’au sublime et descendre jusqu’au familier.

Les règles de l’épître

Portrait de Nicolas Boileau.L’épître a ses règles comme lettre, et ce sont les mêmes que celles du style épistolaire. La lettre, qui consiste dans un entretien par écrit entre deux personnes éloignées, demande du naturel, de la facilité, de l’abandon, mais aussi de la correction et de l’exactitude. Le style de la lettre est simple, seulement plus ou moins léger, plus sérieux et plus enjoué, plus libre, plus familier ou plus réservé, plus modeste, plus respectueux, selon les convenances.

Les règles de l’épître comme lettre en vers se réduisent aux suivantes : que la réflexion et le travail s’y montrent plus que dans la lettre, et qu’elle ait au moins un degré ou de force ou d’élégance, en un mot, un degré de soin au-dessus de celui qu’elle aurait eu si on ne l’eût mise en prose.

L’épître n’a point de style déterminé. Elle prend le ton de son sujet, et s’élève ou s’abaisse suivant le caractère des personnes. C’est ainsi que l’épître de Nicolas Boileau à son jardinier exigeait le style le plus naturel, tandis que l’épître à Louis XIV sur le passage du Rhin, demandait le style le plus héroïque.

→ À lire : La correspondance. – Le roman épistolaire.

Les sujets de l’épître

L’épître peut embrasser toute espèce de sujets. On y peut traiter de la morale, de la littérature, des grandes passions, s’y livrer à des sentiments doux et affectueux, peindre les mœurs et les ridicules, plaisanter, disserter, philosopher, enseigner, louer, blâmer, raconter, en prenant le ton qui convient à chaque sujet et en employant la mesure de vers le plus propre et la plus agréable. Boileau a peint le paysage du Rhin en vers dignes de l’épopée. Il a fait les peintures les plus gracieuses des douceurs de la paix et des agréments de la campagne. Il a, à l’imitation d’Horace, développé dans un style noble et plein de dignité les lois de la morale et du goût. Jean-Baptiste Rousseau a manié habilement les armes de la dialectique dans son Épître conte les impies et les libertins. Beaucoup d’autres poètes ont embelli du coloris de l’imagination ou des grâces du sentiment, les choses les plus simples et les événements les plus communs. Il n’est presque point d’objet qui ne puisse servir de matière à l’épître.

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Les sortes d’épîtres

On compte cinq sortes d’épîtres : l’épître noble ou philosophique, l’héroïde, l’épître familière, l’épître mixte et l’épître dédicatoire.

L’épître philosophique

L’épître philosophique ou didactique est celle qui roule sur la morale, la religion, la politique, la littérature, les arts, les sciences, sur quelque grande passion, ou sur quelque fait important, comme le passage du Rhin par l’armée française dans la IVe Épître de Boileau.

Dans l’épître philosophique, la qualité dominante doit être la justesse et la profondeur du raisonnement. C’est un préjugé dangereux pour les poètes et injurieux pour la poésie, de croire qu’elle n’exige ni une vérité rigoureuse ni une progression méthodique dans les idées. Il est encore incontestable que dans l’épître philosophique on doit pouvoir presser les idées sans y trouver le vide, et les creuser, les approfondir sans arriver faux. Par conséquent, le poète fera en sorte que les pensées soient toujours vraies, solides, lumineuses, et bien enchaînées, et il s’appliquera à concilier la vivacité de l’imagination et l’enthousiasme de la poésie avec la progression méthodique des idées et la marche régulière de la raison.

L’épître didactique ou philosophique demande encore beaucoup de concision et de rapidité dans le style, un ton vif et animé, une tournure piquante, une peinture vive des mœurs et des caractères, afin de frapper l’imagination et de tenir l’attention éveillée.

Les peintures vives des grandes passions, les descriptions brillantes et pleines de feu, jointes au raisonnement, font un très bel effet dans l’épître philosophique, quand elles sont analogues au sujet. C’est ce qu’on peut voir dans celle de Jacques Delille1 sur l’utilité de la retraite pour les gens de lettres.

Peindre les mœurs et les ridicules
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Lorsque le poète veut peindre les mœurs et les ridicules, il doit en saisir les traits les plus frappants, et les présenter sous des images peu communes. Il répandra en même temps sur sa critique tout le sel et tout l’enjouement, toute la délicatesse et toutes les grâces qui pourront la rendre non moins agréable qu’instructive. Le cardinal de Bernis, dans son Épître sur les mœurs, après avoir fait un parallèle ingénieux du siècle des Bayard et de celui où il vivait, peint d’une manière très vraie et très intéressante l’inconstance des Français, asservis aux caprices de la mode.

Le poète peut aussi, appréciant les choses en vrai philosophe, prendre un ton grave et sérieux, lancer des traits vifs et piquants contre les défauts et les vives des hommes, et les tracer avec des couleurs mâles et vigoureuses. C’est qu’à fait Gresset dans sa Chartreuse :

Pourrais-je, en proie aux soins vulgaires…
le trône et l’autel.

L’héroïde

L’héroïde est une épître en grands vers, composée sous le nom d’un héros, d’une héroïne, ou de quelque personnage célèbre des temps héroïques, ou au moins d’une époque déjà éloignée, comme Pénélope, Phèdre, Hermione, Héloïse, etc. Le poète doit, dès les premiers vers, exposer en peu de mots la situation du personnage et les motifs qui le font parler. L’héroïde est susceptible de tous les sentiments qui animent la tragédie. L’amour et la haine, la générosité, la fureur, la fermeté, le désespoir, peuvent s’y trouver tour à tour. Cependant, il semble qu’on ait consacré l’héroïde uniquement à l’amour. C’est resserrer dans les limites trop étroites un genre qui peut s’étendre plus loin. Les récits sont déplacés dans ces sortes d’épîtres, à moins qu’ils ne constituent la plus grande partie de l’intérêt, et qu’ils n’offrent des tableaux touchants et pathétiques. Ces poésies de pure invention demandent à être animées par une grande chaleur de sentiment et embellies par une richesse d’expression. La frivolité du fond ne peut pas passer que moyennant la beauté de la forme.

Ovide est l’inventeur de ce genre de poésie. Il nous met quelquefois sous les yeux les situations les plus touchantes et les plus pathétiques, avec toute la chaleur qu’elles peuvent avoir dans la bouche des personnages intéressés. Cependant, ce poète cherche trop à briller par les grâces du bel esprit et le faste des ornements. Nous citerons de lui une lettre de Pénélope à Ulysse.

Charles-Pierre Colardeau2, né efn 1732, dans l’Orléanais, mort en 1776, s’est acquis une certaine réputation dans ce genre par son Épître d’Armide à Renaud, et surtout par celle d’Héloïse à Abailard.

L’épître familière

L’épître familière est celle qui roule sur des sujets peu élevés. Elle doit avoir un air de négligence et de liberté. C’est même ce qui la caractérise. Elle ne souffre point d’ornements étudiés. Une élégante simplicité, une plaisanterie aimable, un badinage léger, de la vivacité, des saillies, des traits d’esprit, mais qui paraissent n’avoir rien coûté : voilà ce qui doit en faire le plus bel agrément. L’épître familière admet le récit des faits les plus ordinaires, les plus petits détails, la description des objets les plus communs, pourvu que tout y soit exprimé avec grâce, comme dans la lettre d’Horace à Mécène, I, 7. Boileau, dans sa VIe Épître, oppose avec un charme enchanteur les plaisirs de la campagne à la vie inquiète et agité qu’on mène à la ville. De même, Voltaire a admirablement peint et loué le militaire français dans une lettre bien connue, qu’il a écrit du camp de Philippsbourg.

L’épître mixte et l’épître dédicatoire

L’épître familière est quelquefois mêlée de prose, et on lui donne alors le nom d’épître mixte. Cette sorte d’épître rentre dans le genre épistolaire, et doit en suivre toutes les règles. On peut, cependant, y mettre plus de finesse, de délicatesse ou d’agrément, mais il faut en exclure toute fiction sérieuse, toute peinture magnifique, toute idée ou tout sentiment trop relevé. Il n’est pas facile de réussir dans cette espèce de composition, parce qu’il faut une grande flexibilité de ton pour passer sans effort, dans le même sujet, des vers à la prose et de la prose aux vers.

L’épître dédicatoire est une lettre en vers qui contient la dédicace d’un livre, c’est-à-dire par laquelle on fait hommage d’un ouvrage à quelqu’un.

Les principaux poètes épistolaires

Nous n’avons point d’épîtres des Grecs. Nous ne savons même pas si ce genre était cultivé chez eux.

Chez les Latins, nous mentionnerons Horace, qui nous a laissé des épîtres philosophiques remarquables. Ovide a illustré le genre en composant des épîtres sentimentales (Héroïdes, v. 20 av. J.-C.-15 av. J.-C.), autobiographiques (Pontiques) de facture élégiaque.

En France, nous avons un certain nombre de poètes épistolaires. Nous citerons Christine de Pizan3, Clément Marot, Vincent Voiture, Nicolas Boileau, Voltaire, Jean-Baptiste Rousseau5, Jean-Baptiste Gresset6, le cardinal de Bernis7, Lebrun Pindare8 et Bernard de Bonnard9.

Clément Marot mène l’épître à un sommet (Épître au roi, 1519 ; Épître de Fripelipes, Épître du Dépourvu). Au XVIIe siècle, si François Le Métel de Boisrobert10, désireux de maintenir l’ordre dans le domaine des lettres, s’attache à faire de l’Épître un modèle de discrétion, Paul Scarron, ennemi des genres sérieux, et Vincent Voiture, féru de galanterie, la modernisent. Nicolas Boileau, après avoir « abjuré » la satire pour l’épître, s’y fait plus serein pour dire son amour de l’« écriture polie » et sa haine de l’équivoque. Sachant choisir « avec discernement la forme littéraire appropriée », Voltaire révèle dans l’épître un incontestable talent, tandis qu’outre-Manche Alexander Pope, poète horacien par excellence, conférait à ses Épîtres morales (1731-1735) une étonnante modernité.

Vingt et un livres du Nouveau Testament sont des épîtres attribuées, selon la tradition, aux apôtres (Épître aux Romains, aux Corinthiens, aux Éphésiens, aux Hébreux). Dans la liturgie antérieure au Concile de Vatican II, l’épître est un passage de l’Ancien ou du Nouveau Testament et, le plus fréquemment, d’une Épître du Nouveau Testament, lu ou chanté à la messe ou début de la liturgie de la parole.

Notices biographiques

▪ Jacques Delille
Jacques Delille, souvent appelé l’abbé Delille, né à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) le 22 juin 1738 et mort à Paris dans la nuit du 1er au 2 mai 1813, est un poète et traducteur français. Sa gloire est assurée d’un coup par sa traduction en vers des Géorgiques de Virgile, qu’il publie en 1770. Delille est élu à l’Académie française en 1772, mais le maréchal de Richelieu intervient auprès de Louis XV pour faire annuler son élection au motif qu’il est trop jeune. Réélu en 1774, il est, cette fois, reçu par l’illustre compagnie. En 1782, la publication du poème des Jardins, sans doute l’œuvre la plus célèbre de Delille, est un nouveau triomphe, amplifié par le talent avec lequel l’auteur savait lire ses vers à l’Académie, au Collège de France ou dans les salons. Il meurt d’une attaque d’apoplexie dans la nuit du 1er au 2 mai 1813. Son corps est exposé pendant trois jours sur un lit de parade au Collège de France, le front ceint d’une couronne de laurier et, considéré comme le plus grand poète français, il reçoit des funérailles grandioses, suivies par une foule immense. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise.

Charles-Pierre Colardeau
Charles-Pierre Colardeau, né à Janville le 12 octobre 1732 et mort le 7 avril 1776 à Paris, est un poète français. Les meilleurs poèmes de Colardeau – l’imitation de la Lettre d’Héloïse à Abailard de Pope, la traduction des deux premières Nuits d’Young notamment – portent témoignage de la sensibilité préromantique du XVIIIe siècle. Il a en outre créé le terme « héroïde » pour désigner les lettres en vers imaginaires de personnages célèbres. La minceur relative de son œuvre doit être attribuée selon les uns à une santé fragile – que confirme un décès prématuré à 43 ans – et pour les autres à une paresse proverbiale.

▪ Christine de Pizan
Christine de Pizan (ou, dans des textes plus anciens, Christine de Pisan), née à Venise en 1364 et morte au monastère de Poissy vers 1430, est une philosophe et poétesse française de naissance italienne. Elle est considérée comme la première femme écrivain de langue française ayant vécu de sa plume. Son érudition la distingue des écrivains de son époque, hommes ou femmes. Veuve et démunie, elle doit gagner sa vie en écrivant.
C’est une auteur prolifique, elle compose des traités de politique, de philosophie et des recueils de poésies. Elle se retire dans un couvent à la fin de sa vie, où elle écrit un Ditié de Jeanne d’Arc. On lui doit, entre autres, Cent ballades d’amant et de dame et la Cité des dames. Son travail majeur est accompli entre 1400 et 1418.

▪ Jean-Baptiste Rousseau
Jean-Baptiste Rousseau est un poète et dramaturge français, né à Paris le 6 avril 1669 (ou 1670) , et mort à Bruxelles le 17 mars 1741. Rousseau s’était essayé au théâtre mais sans succès. Plusieurs de ses Odes sacrées et de ses Odes profanes sont au nombre des plus beaux morceaux lyriques de la langue française ; il est cependant plus habile versificateur que grand poète. Il a créé la Cantate, et y a excellé ainsi que dans l’Épigramme, où il a souvent étalé un cynisme dont il s’est repenti plus tard. On a encore de lui des Épîtres et des Allégories fort médiocres. Sa Correspondance a été imprimée pour la première fois en 1749. Pour ses contemporains, Rousseau était considéré comme « le prince de nos poètes lyriques ». Lorsqu’il mourut, Lefranc de Pompignan lui consacra une ode magnifique dont Sainte-Beuve a dit avec malice qu’elle était la plus belle ode due à Rousseau.

▪ Jean-Baptiste Gresset
Jean-Baptiste-Louis Gresset, né le 29 août 1709 à Amiens où il est mort le 16 juin 1777, est un poète et dramaturge français. Dès 1730, il publie une Ode sur l’amour de la patrie. Un peu plus tard, il découvre le genre littéraire où il excellera : ce sera la poésie badine. Il a l’honneur d’être admis à l’Académie royale de Berlin, tout en déclinant l’offre du roi de Prusse de s’établir dans sa capitale. Il fonde, en 1750, l’Académie des sciences, des lettres et des arts d’Amiens, dont il est nommé président perpétuel. Il se marie en 1751.

▪ Le cardinal de Bernis
François-Joachim de Pierre, cardinal de Bernis, né le 22 mai 1715 à Saint-Marcel-d’Ardèche et mort le 3 novembre 1794 à Rome, est un diplomate, homme de lettres et prélat français qui était ambassadeur à Venise (1752-1755), ministre d’État (1757), secrétaire d’État des Affaires étrangères (1757-1758), chargé d’affaires auprès du Saint-Siège (1774-1794). Bernis est resté célèbre pour ses Mémoires, écrits dans le style plaisant de l’époque, où il conte les aventures de sa vie, dénonçant ses ennemis comme Mgr de Fleury et restant fidèle à ses amitiés, par exemple avec Mme de Pompadour.

▪ Lebrun Pindare
Ponce-Denis Écouchard-Lebrun, dit Lebrun Pindare, est un poète français, né le 11 août 1729 à Paris où il est mort le 31 août 1807. En 1760, Lebrun rencontre une nièce de Corneille, qui traversait une situation difficile, et écrit une ode pour la recommander à Voltaire qui adopte la jeune fille. Lebrun publie son ode et la correspondance qu’il avait eue avec Voltaire à cette occasion pour se glorifier de sa bonne action ce qui lui vaut les moqueries de Fréron à qui il riposte par deux violents pamphlets : La Wasprie (1761) et L’Âne littéraire (1761), qu’on attribue aussi à son frère, Jean-Étienne Écouchard-Lebrun de Granville. La versatilité politique d’Écouchard-Lebrun a durablement terni sa réputation jusqu’à faire oublier son œuvre poétique, dont les mérites sont pourtant réels, surtout dans un siècle peu doué pour la poésie. Il est l’un des rares poètes lyriques de son époque, méritant le surnom un peu ridicule de « Pindare français » qui lui est donné peut-être avec un peu de malice. Avec ses défauts et son mauvais caractère, il avait certes une haute idée de lui-même, mais elle était inséparable d’une haute idée de la poésie.

▪ Bernard de Bonnard
Bernard de Bonnard, dit le chevalier de Bonnard, né à Semur-en-Auxois le 22 octobre 1744 et mort dans la même ville le 13 septembre 1784, est un poète français. L’épreuve sentimentale subie à quinze ans donne à la poésie de Bonnard un caractère propre au XVIIIe siècle : à la différence de celle de ses amis Bertin, Dorat ou Pezay, elle n’est jamais libertine et se veut au contraire grave et élégiaque. On peut citer parmi ses poésies l’Épître à M. de Boufflers et l’Épître à un ami revenant de l’armée. Elles ont été publiées par Sautereau de Marsy en 1791 (1 vol. in-8º).

▪ François Le Métel de Boisrobert
François Le Métel de Boisrobert, né en 1589 à Caen et mort début avril 1662 à Paris, est un poète et dramaturge français. Boisrobert a composé 18 pièces de théâtre, dont 9 tragi-comédies. L’une de ses comédies, La Belle plaideuse (1655) est remarquable et passe pour avoir inspiré l’Avare de Molière. Il est également l’auteur de nombreuses poésies. Il a édité les Œuvres de Théophile (1627) et le Parnasse royal, ou Poésies diverses à la louange de Louis XIII et du cardinal de Richelieu (1635, 2 vol.). D’après Bernard de La Monnoye, il serait l’auteur des Contes licencieux qui ont paru sous le nom de son frère, Antoine Le Métel d’Ouville.

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