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#7943
Nous sommes des êtres complets et la nature nous amène à le ressentir profondément, alors que la société crée en nous le manque. Elle sait nous faire croire et nous faire ressentir qu'il nous manque quelque chose pour être heureux. Elle nous interdit d'être satisfaits de ce que nous avons, de ce que nous sommes. Elle ne cesse de nous faire croire que nous sommes incomplets. (Laurent Gounelle, Le Jour où j'ai appris à vivre, Pocket, p. 69)
#7944
[...] le mot d'origine, utilisé par Jésus, que l'on a traduit par « péché » était khtahyan. Il signifie plutôt « erreur », dans le sens où ce que l'on fait ne correspond pas à l'objectif. De même, quand Jésus parlait de ce qui mal, il utilisait le mot bisha, qui veut plutôt dire « inadéquat ». Bref, commettre des péchés n'est pas vraiment faire le mal, mais plutôt se tromper et s'éloigner de l'objectif. (Laurent Gounelle, Le Jour où j'ai appris à vivre, Pocket, p. 70)
#7945
[...] notre société ne t'a amené à ressentir que les plaisirs fugaces issus de la satisfaction de tes désirs ; elle ne t'a pas donné l'opportunité de ressentir la vraie joie, celle qui vient de l'intérieur... (Laurent Gounelle, Le Jour où j'ai appris à vivre, Pocket, p. 74)
#7946
Plus tu te tourneras vers l'extérieur pour chercher des satisfactions, plus tu ressentis le manque. Plus tu courras après tes désirs, moins tu seras satisfait. (Laurent Gounelle, Le Jour où j'ai appris à vivre, Pocket, p. 75)
#7947
Quand on est fatigué, c'est que notre corps nous réclame du repos, et notre cerveau, du sommeil. Et nous, qu'est-ce qu'on leur donne ? Un café ! (Laurent Gounelle, Le Jour où j'ai appris à vivre, Pocket, p. 77)
#7948
C'est l'une des grandes illusions de notre époque. On écoute de moins en moins notre for intérieur. D'ailleurs, on en arrive même parfois à ne plus vraiment savoir ce que l'on veut faire de notre vie. Et en plus, au quotidien, on a tendance à se perdre en voulant correspondre à des normes qui ne sont pas les nôtres, des normes imposées par la société. (Laurent Gounelle, Le Jour où j'ai appris à vivre, Pocket, p. 78)
#7949
Pour bien vivre sa vie, il est nécessaire d'être à l'écoute de ce qui vient du plus profond de notre âme. Mais notre âme est comme un ange qui murmure d'une voix si douce, si faible, qu'il faut tendre l'oreille. Comment veux-tu la percevoir dans le brouhaha incessant ? Comment veux-tu y prêter attention quand ton esprit est en permanence accaparé par des milliers de choses en dehors de toi-même ? (Laurent Gounelle, Le Jour où j'ai appris à vivre, Pocket, p. 79)
#7950
[...] à force d'être absorbé par ce qui vient de l'extérieur, on perd le contact avec nous-mêmes. Plus nos émotions sont induites par l'extérieur, moins on sait les faire émerger de l'intérieur par nos propres pensées, nos actions, nos ressentis. (Laurent Gounelle, Le Jour où j'ai appris à vivre, Pocket, p. 80)
#7951
[...] une graine a du mal à germer dans une terre étouffée par une végétation envahissante. Il faut un peu d'espace pour que la lumière vienne à nous. (Laurent Gounelle, Le Jour où j'ai appris à vivre, Pocket, p. 80)
#7952
Les peureux se font tourmenter, les gens qui craignent de ne pas être à la hauteur échouent, ceux qui ont peur d'être rejetés finissent par l'être. (Laurent Gounelle, Le Jour où j'ai appris à vivre, Pocket, p. 80)



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