#7963
On a parfois besoin de ceux que l'on croit nos ennemis.
(Laurent Gounelle, Le Jour où j'ai appris à vivre, Pocket, p. 139)
#7964
Il rêve, enfin. C'est pour en arriver là que les gens boivent. (Gabrielle Zevin, La Librairie de l'île, Pocket, p. 31)
#7965
[...] mais qu'y a-t-il, dans la vie, de plus personnel que les livres ? (Gabrielle Zevin, La Librairie de l'île, Pocket, p. 29)
#7966
On lit pour se rappeler qu'on n'est pas seul. On lit parce qu'on est seul. On lit, et on n'est pas seul. On n'est pas seul. (Gabrielle Zevin, La Librairie de l'île, Pocket, p. 269)
#7967
[...] nous sommes ce que nous aimons. Nous sommes parce que nous aimons. (Gabrielle Zevin, La Librairie de l'île, Pocket, p. 271)
#7968
Exister, c'est savoir ce que l'on donne et ce que l'on prend. (Gilles Legardinier, Et soudain tout change, Pocket, p. 58)
#7969
Pourquoi n'aurait-on plus le droit de jouer quand on grandit ? Pourquoi faudrait-il renoncer à ces joies simples pour rentrer dans des codes et se prendre au sérieux ? (Gilles Legardinier, Et soudain tout change, Pocket, p. 46)
#7970
Vous savez, j'ai toujours cru qu'il existait un âge pour conjuguer les verbes : marcher, grandir, aimer, perdre, souffrir, mentir, baisser les yeux, apprendre, se battre, avouer, esperer, partir ou laisser partir. Maintenant, je sais que c'est faux. Il n'y a pas d'âge pour conjuguer les verbes, il faut juste les circonstances. (Gilles Legardinier, Et soudain tout change, Pocket, p. 21)
#7971
[...] dans un combat, ce n'est pas le plus fort qui l'emporte, mais le plus convaincu. (Gilles Legardinier, Et soudain tout change, Pocket, p. 11)
#7972
Je crois que la justice et la chance sont deux concepts que notre espèce a inventés pour justifier ce qu'elle ne maîtrise pas. (Gilles Legardinier, Et soudain tout change, Pocket, p. 244)
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